Passer d’une langue source à une langue cible sans intervention humaine : c’est la traduction automatique. Mais si l’outil travaille tout seul, c’est parce que des humains l’ont conçu, entraîné et programmé. Découvrez-les !
Traduction automatique : quand et pourquoi ?
Les humains qui se cachent derrière la machine de traduction automatique travaillent avec les mêmes objectifs en tête : améliorer la précision, la rapidité et la pertinence de la traduction.
Lorsqu’une nouvelle langue est développée, il faut configurer la machine puis l’entraîner en lui montrant « comment travailler » avec des exemples.
La machine doit également être configurée lorsque sont crées des modèles de traduction spécialisés
- pour une entreprise avec un glossaire propre,
- pour un secteur spécifique,
- pour tout besoin de langage spécifique (par exemple la nouvelle BU d’une entreprise, un nouveau produit…).
Les métiers de la traduction automatique : une véritable équipe !
L’ingénieur linguiste
Il/Elle travaille sur la fiabilité et la précision de la traduction. Il/elle peut être spécialisé-e dans plusieurs langues avec la même racine.
L'Ingénieur de Développement
Il/elle travaille en étroite collaboration avec le service linguistique et le Labs. Il/Elle travaille notamment sur les algorithmes et l'IA afin d'améliorer la qualité de la traduction automatique.
L'ingénieur Logiciel
L’ingénieur logiciel est en charge de l'architecture de l'outil et des fonctionnalités en lien avec les besoins des clients.
Le laboratoire de recherche
Le laboratoire de recherche conduit les travaux de R&D.
Cette organisation unique est propre à SYSTRAN, le Lab a notamment des partenariats avec plusieurs universités.
C’est la coordination et l’interdépendance des métiers de la traduction automatique qui font toute la force de l’outil. Le moteur de traduction automatique peut être entraîné pour avoir un niveau générique ou très spécialisé, en fonction des besoins des utilisateurs et de l’entreprise.